Emission des hypothèses
Entre tes quatre murs, tu crées des hypothèses…
qu’il te faudra valider sur le terrain!
Les hypothèses émises lors de tes réflexions doivent être vérifiées, avant qu’il ne te soit possible de prendre des décisions. Sur internet, tu trouveras divers outils de sondage, avec plusieurs types de questions et des statistiques automatiques sur leurs réponses, enregistrées automatiquement.
Mais les interviews que tu conduis directement auprès de tes bénéficiaires ou avec des groupes de personnes n’utilisent en principe pas ces outils, raison pour laquelle tu peux aussi simplement enregistrer tes hypothèses globales, les questions abordées et les tendances montrées par les réponses récoltées.
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Hypothèses à valider
Enregistre tes hypothèses globales et fixe un objectif de réponses pour chacune. Pour des interviews, par exemple, tu peux aussi enregistrer tes questions dans le deuxième tableau.
Questions
Définis tes questions en relation avec l’hypothèse à valider, sélectionnées dans le tableau ci-dessus, et le sondage que tu vas réaliser.
J’identifie
Pour pouvoir décider en connaissance de cause!
C’est le moment d’observer et de découvrir le contexte de ton projet, qui sont ses bénéficiaires et surtout quels sont leurs besoins. Avec les outils que tu as à ta disposition tu pourras :
- Définir ton terrain de jeu, c’est-à-dire le contexte géographique où tu iras recueillir des informations.
- Enregistrer une première liste de bénéficiaires et de clients à interroger sans oublier les parties prenantes.
- Comprendre les influences plus subtiles du contexte.
- Décortiquer une problématique centrale pour bien la comprendre et imaginer ses conséquences négatives.
- Emettre des hypothèses sur les besoins non satisfaits auxquels ton projet pourra répondre, puis les valider par des sondages et des interviews.
Contexte géographique
Le contexte géographique est ton « terrain de jeu » !
Définis la ou les zones géographiques où se situent tes bénéficiaires et/ou tes clients, autrement dit, ta ou tes zones d’activités.
Elles peuvent être très petites, ou bien plus grandes… mais méfies-toi d’une chose: vouloir résoudre les problèmes de tout le monde sur notre planète, implique plus de 7’000 langues différentes, dont 230 rien qu’en Europe !
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Pour les checklists:
Validation des hypothèses
Entre vos quatre murs, vous créez des hypothèses…
qu’il vous faudra valider sur le terrain!
Les hypothèses émises lors de réflexions doivent être vérifiées, avant qu’il soit possible de prendre des décisions. Sur internet, il existe divers outils de sondage, avec plusieurs types de questions et des statistiques sur les réponses enregistrées automatiquement.
Mais les interviews conduits directement auprès des bénéficiaires ou dans des groupes n’utilisent en principe pas ces outils, raison pour laquelle tu peux aussi enregistrer les hypothèses globales, les questions abordées et la tendance de leurs réponses.
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Hypothèses à valider
Enregistrez tes hypothèses globales et fixes-toi un objectif de réponses. Pour des interviews, tu peux enregistrer tes questions dans le deuxième tableau.
Questions
Définissez tes questions en relation avec le sondage et, après l’avoir réalisé, notes ton appréciation des réponses. C’est en analysant l’ensemble que tu pourras déterminer s’il valide ou invalide l’hypothèse globale.
Retournes ensuite dans le premier tableau et indiques si tu valides l’hypothèse globale (Oui) ou l’invalides (Non). La validation n’est pas automatique!
Clientèles
Qui sont les bénéficiaires et les clients cibles de ton projet?
Dans le tableau ci-dessous, liste les bénéficiaires de ton projet, c’est-à-dire ses publics cibles, en faisant la distinction entre :
- Les bénéficiaires, qui paient la prestation, soit pour leur propre usage, soit pour l’usage par un tiers.
- Les bénéficiaires directs, qui reçoivent sans avoir à payer pour l’usage de la prestation.
- Les bénéficiaires indirects, qui ne reçoivent pas la prestation, mais qui sont aussi bénéficiaires de la situation.
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Arbres de problèmes et conséquences
Comment comprendre un problème ?
En cherchant ses causes et ses conséquences!
Cette page vous permet d’analyser plus en détail un besoin (problème à résoudre ou opportunité à saisir) en construisant un arbre de problèmes. Ensuite vous pourrez en dériver en un arbre des objectifs. Cette méthode est très utilisée dans le contexte de la coopération, avec l’approche du « Logic framework« .
Les deux arbres sont « couchés » sur le côté pour faciliter leur utilisation, celui des causes sur la gauche et celui des conséquences sur la droite. Leur point de contact est le nœud « racine » de l’arbre.
C’est souvent pour des causes « primaires », tout à gauche de l’arbre, que vous imaginerez des projets capables d’exercer des répercussions dans tout l’arbre.
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Causes
Commencez par définir le problème central, en double cliquant sur le premier nœud, et ajoutez progressivement des nœuds de « cause à effet » sur sa gauche, en vous répétant la question « Pourquoi? »…
Pour des raisons d’enregistrement, les touches « , Enter et < ne sont pas prises en compte
Conséquences
Continuez en réécrivant le problème central, en double cliquant sur le premier nœud, et ajoutez progressivement des nœuds de « cause à effet » sur sa droite, cette fois, en vous répétant la question « Et alors ? »…
Pour des raisons d’enregistrement, les touches « , Enter et < ne sont pas prises en compte
Parties prenantes
Des personnes ou des organisations bienveillantes, en lien avec toi.
Des partenaires et des alliés, des prescripteurs et des influenceurs, et même des fournisseurs!
Des personnes ou organisations externes peuvent jouer un rôle important dans le développement de tes projets. Réfléchis soigneusement à tes potentiels :
- Partenaires, Alliés, Prescripteurs, Influenceurs.
- Financeurs, Fournisseurs, Etc.
Mais tu peux aussi avoir des Opposants qui chercheront à contrecarrer ton projet ou des Sceptiques qui seront difficiles de convaincre à se rallier à ta cause, ou encore les Silencieux que l’on ne consulte pas assez. Il peut être bon de les inclure dans ton tableau, comme on dit : « Mieux vaut prévenir que guérir! ».
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Cartographie des parties prenantes – acteurs externes
Dans ces deux tableaux, tu peux indiquer comment les parties prenantes sont en relation les unes avec les autres.
Dans le simple tableau, insère une ligne pour chaque influence exercée par la partie prenante de la colonne de gauche sur la partie prenante de la colonne de droite. Les deux listes des parties prenantes sont sélectionnées à partir du tableau antérieur.
Rafraichis la page (F5) si tu as changé la liste des parties-prenantes – acteurs
Tu peux réordonner les lignes du tableau ci-dessous en les déplaçant.
Le tableau croisé ci-dessous est surtout utile pour la représentation des influences.
Considère les lignes comme étant les « Acteur Sources » de la relation et les colonnes les « Acteurs Destination de la relation. Ecris succinctement la relation en quelques mots à l’intersection.
Tu peux restreindre les lignes et colonnes visibles avec les listes de sélection (Ctrl ou Shift) pour des sélections multiples)
Rafraichis la page (F5) si tu as changé la liste des parties-prenantes – acteurs
Acteurs destination (lignes) |
Acteurs source (colonnes) |
Contexte PESTEL
(et géographique)
Le contexte est ton « terrain de jeu » ! Il t’influence, t’oriente, te freine, t’accélère… et tu l’influences aussi.
Contexte PESTEL : complète l’analyse que tu avais commencée en réfléchissant aux divers éléments du contexte, externe à ton projet et qui peuvent l’influencer positivement ou négativement. Ces éléments ne sont en principe ni des personnes physiques, ni des personnes morales.
Pour faciliter la réflexion, tu peux utiliser les catégories PESTEL, dont les 6 lettres signifient: Politique, Economique, Social, Technologique, Environnemental et Légal.
Indique aussi le degré d’influence, soit :
- ++signifie une forte influence positive, soit une opportunité.
- + représente une influence positive modérée.
- – signifie une influence négative modérée mais présente.
- —signifie une forte influence négative, soit un risque du contexte.
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Contexte géographique
(re)Définis la ou les zones géographiques où se situent tes clients et/ou tes bénéficiaires, autrement dit, ta ou tes zones de chalandise.
Elles peuvent être très petites, ou bien plus grandes… mais méfies-toi d’une chose: vouloir proposer et vendre à tout le monde sur notre planète, implique plus de 7000 langues différentes, dont 230 rien qu’en Europe!
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